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<strong>Bienvenue sur le Wiki du CTIPC.</strong>
<strong>Bienvenue sur le Wiki de l'outil C3R-IMPACT du CT IPC</strong>


Un petit texte de présentation sur l'entreprise.
Le CT IPC a développé, en collaboration avec EVEA, le logiciel '''C3R-IMPACT''' afin de faciliter les démarches d’éco-conception dans les entreprises. Cet outil d’analyse de cycle de vie simplifié, basé sur les normes ISO 14040 et ISO 14044 est un logiciel d’évaluation environnementale dédié au secteur de la plasturgie. Il est destiné à être l’interface entre l’utilisateur non expert et le logiciel d’Analyse du Cycle de Vie SimaPro, un des outils d’Analyse de Cycle de Vie les plus reconnus et utilisés dans le monde.
Une suite mettant en avant la solution utilisée par le CTIPC.


== Présentation générale de l'outil ==
== Présentation générale de l'outil ==
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== Interprétation des résultats ==
== Interprétation des résultats ==
'''<u>Les indicateurs d'impact environnementaux de la méthode Environmental Footprint</u>'''
{| class="wikitable"
|Nom
|Unité
|Description
|-
|Changement  climatique
|kg CO<sub>2</sub> eq
|L’effet de serre correspond à l’augmentation de la température  moyenne de l’atmosphère induite par l’accroissement de la concentration de  gaz à effet de serre d’origine anthropique dans l’atmosphère.
Les activités humaines – industrielles, agricoles ou domestiques (chauffage,  déplacements) – contribuent à ce phénomène de changement climatique en raison  des énergies fossiles utilisées.
|-
|Destruction de la  couche d’ozone
|kg CHC-11 eq
|L’appauvrissement de la couche d’ozone résulte de  réactions complexes entre l’ozone présent dans la haute atmosphère et de  composés gazeux tels que les chlorofluorocarbures (CFC), les halons et les  hydrochlorofluorocarbures (HCFC).
La filtration naturelle des rayonnements ultraviolets  devient moins efficace, entraînant des effets potentiellement nocifs sur la  santé humaine, la santé animale et les écosystèmes terrestres et aquatiques.
|-
|Emissions de  particules fines
|Disease inci
|La présence dans l’air de particules fines de faible  diamètre – en particulier de diamètre inférieur à 10 microns – représente un  enjeu pour la santé humaine, leur inhalation pouvant être à l’origine de  problèmes respiratoires et cardio-vasculaires.
Ces particules proviennent surtout de la combustion à des  fins énergétiques de différentes ressources (bois, charbon, pétrole), du  transport routier et de l’industrie.
|-
|Radiations  ionisantes
|kBq U235 eq
|Cet indicateur représente les dommages causés à la santé  humaine liés à la libération courante de matières radioactives dans  l'environnement.
|-
|Oxydation  photochimique
|kg NMVOC (Non Methane Volatile Organic Compound) eq
|Indique le  potentiel de création d’ozone photochimique dans la troposphère (< 11 km  alt.) induit par les émissions de substances (COV et NOx) générant ce  phénomène. Sa survenue dans les grands centres urbains réfère généralement à  l’appellation «pics de pollution» (on parle également de «smog»)
|-
|Acidification
|Mol H+ eq
|L’acidification de l’air est liée aux émissions d’oxydes  d’azote, d’oxydes de soufre, d’ammoniac et d’acide chlorhydrique.   
Les rejets d’oxydes de soufre sont dus à l’utilisation de combustibles  fossiles soufrés : charbon, lignite, coke de pétrole, fuel, gazole.
Les oxydes d’azote proviennent essentiellement de la  combustion fossile et de procédés industriels. Les principaux émetteurs sont  les grandes installations de combustion et les véhicules.
L’acide chlorhydrique est issu notamment de la combustion  de combustibles fossiles chlorés (charbon, fioul lourd) et de l’incinération  des ordures ménagères. L’ammoniac provient principalement du secteur  agricole.
Ces polluants se transforment en acides en présence d’humidité, leurs  retombées pouvant dégrader les écosystèmes mais aussi les bâtiments.
|-
|Eutrophisation  terrestre
|Mol N eq
|La qualité de l’eau et des sols d’où les plantes pompent  leur nutriment est trop riche en certains nutriments (azote et phosphore),  conduisant à la prolifération de certaines espèces à l’insu d’autre.
|-
|Eutrophisation  d’eau douce
|kg P eq
|L’eutrophisation d’un milieu aqueux se caractérise par  l’introduction de nutriments, sous la forme de composés azotés et phosphatés,  conduisant au développement voire à la prolifération d’algues et à l’asphyxie  du milieu.
L’eutrophisation des eaux douces est principalement due aux composés  phosphatés. L’apport de phosphates dans le milieu naturel provient à la fois  de l’agriculture (utilisation d’engrais, déjections animales), des rejets  industriels et des rejets domestiques (déjections humaines, détergents et  lessives)
|-
|Eutrophisation  marine
|kg N eq
|L’eutrophisation des eaux marines est consécutive à  l’introduction de nutriments sous la forme de composés azotés, celle-ci  conduisant à une prolifération d’algues et à une asphyxie du milieu.  Différents composés azotés sont impliqués dans ce phénomène : les nitrates,  les nitrites, l’azote ammoniacal, l’azote organique.
Les activités agricoles – de culture et d’élevage – ainsi que les  activités industrielles et domestiques (ex : eaux usées) contribuent à ces  apports de nutriments azotés dans l’environnement.
|-
|Consommation de  ressources minérales non renouvelables
|kg Sb eq
|L’appauvrissement de l’environnement en ressources  minérales non renouvelables telles que le fer, le zinc, etc.
|-
|Consommation  d’énergies non renouvelables
|MJ
|L’appauvrissement de l’environnement en ressources  fossiles non renouvelables telles que le gaz naturel, le charbon, le pétrole,  etc.
|-
|Ecotoxicité  aquatique
|CTUe
|Les activités humaines peuvent nécessiter la mise en œuvre  de produits et de préparations susceptibles de rejoindre les écosystèmes  aquatiques et de se révéler toxiques pour leur faune et leur flore.
Ainsi, certains produits consommés par les ménages peuvent  engendrer des effets écotoxiques pour les milieux aquatiques : shampoings,  produits d’hygiène, détergents ménagers par exemple.
|-
|Occupation d’espace
|Pt
|Traduit la perte de qualité des sols occupés par les  activités humaines (agriculture, exploitation forestière, emprise des réseaux  de transport…) en exprimant cette perte de qualité en termes de déficit de  matière organique.
|-
|Privation en eau
|m<sup>3</sup> depriv
|Considère les prélèvements d’eau directement puisés dans  les réserves naturelles d’eau douce (ex. : rivière, lac, nappe phréatique) ou  d’eau salée.
Attention cet indicateur ne traduit pas seulement le  volume d’eau prélevé mais prend en compte également la zone géographique dans  laquelle cet eau est prélevée.
|-
|Toxicité humaine
|CTUh
|Les activités humaines sont nombreuses à nécessiter la  mise en œuvre de substances susceptibles d’être émises dans l’atmosphère et  l’environnement. Il en va ainsi de nombreuses activités industrielles et  énergétiques (aciéries, centrales nucléaires, centrales à charbon) et  d’activités fondées sur la chimie. Toutes ces activités peuvent être  potentiellement dangereuses pour la santé humaine en cas d’inhalation ou  d’ingestion.
|}
Plus d’informations sur cette méthode, disponibles sur le site de la commission européenne : https://eplca.jrc.ec.europa.eu/EnvironmentalFootprint.html
'''<u>Le score unique</u> :'''
Le score unique est un indicateur proposé par la méthode Environmental Footprint de la commission Européenne, qui a pour but de résumer l’ensemble des performances environnementale d’un produit par une note unique.
Il se construit en 3 étapes :
- Normalisation : Ramener l’impact de chaque indicateur en une unité commune. Pour cela on divise l’impact de notre produit par l’impact annuel moyen de la population mondiale par personne. On obtient ainsi un résultat en Point (Pt). Avoir un impact de 1 Pt sur le changement climatique est équivalent à représenter 1% de l’impact Changement Climatique annuel d’une personne moyenne. Tous les indicateurs sont alors dans une même unité, le Point (%). Les ordres de grandeur étant important, on résonne souvent en µPt (10<sup>-6</sup> %) ou en mPt (10<sup>-3</sup> %).
- Pondération : Les catégories d’impacts n’ont pas forcément la même importance sur l’environnement. Leur importance est donc pondérée pour augmenter ou réduire leur contribution dans la note unique finale.
- Addition : l’étape finale est l’addition des 15 scores normalisés et pondérés en une note unique, le Single Score.
Points d’attention sur le score unique :
-       Certains indicateurs sont encore trop incertains et induisent des problèmes dans le calcul du score unique (indicateurs Toxicité Humaine, Eco-toxicité et Particules Fines)
-       Les mix électriques intégrant une grande part de nucléaire sont fortement désavantagés sur le Score unique à cause de l’indicateur Ionizing Radiation.
-       Toute normalisation engendre de l’incertitude (taille de la population et impacts comptés).
-       Toute pondération engendre de l’incertitude (débats d’experts).
'''Aussi le CT IPC et EVEA recommande d’utiliser le score unique comme une lecture complémentaire des résultats. Le score unique n’a pas vocation à être utilisé seul pour de l’aide à la décision.'''


== Communication des résultats ==
== Communication des résultats ==


Toute communication externe des résultats obtenus à partir de l'outil C3R-IMPACT est strictement interdite. Il est rappelé que l’utilisation d’Analyse de Cycle de Vie à des fins de communication est encadrée par les normes applicables en matière d’ACV, incluant le cas échéant la réalisation d’une revue critique. En tout état de cause, IPC et EVEA ne sauraient reconnaître une quelconque responsabilité pour toute communication externe réalisée à partir des résultats issus de C3R-IMPACT.
Plus généralement, l’utilisation de ces résultats et toutes décisions prises sur la base des modélisations effectuées à l'aide de C3R-IMPACT sont de la seule et unique responsabilité de l’utilisateur.


== Liens utiles ==
== Liens utiles ==


[[Lien D'accès à EVOLO => https://ctipc.evea-conseil.net/#/]]
[[Lien D'accès à C3R-IMPACT => https://ctipc.evea-conseil.net/#/]]
[[FAQ]]
[[FAQ]]

Version du 11 janvier 2022 à 15:52

Bienvenue sur le Wiki de l'outil C3R-IMPACT du CT IPC

Le CT IPC a développé, en collaboration avec EVEA, le logiciel C3R-IMPACT afin de faciliter les démarches d’éco-conception dans les entreprises. Cet outil d’analyse de cycle de vie simplifié, basé sur les normes ISO 14040 et ISO 14044 est un logiciel d’évaluation environnementale dédié au secteur de la plasturgie. Il est destiné à être l’interface entre l’utilisateur non expert et le logiciel d’Analyse du Cycle de Vie SimaPro, un des outils d’Analyse de Cycle de Vie les plus reconnus et utilisés dans le monde.

Présentation générale de l'outil

Utilisation de l'outil

Le contenu

Interprétation des résultats

Les indicateurs d'impact environnementaux de la méthode Environmental Footprint

Nom Unité Description
Changement climatique kg CO2 eq L’effet de serre correspond à l’augmentation de la température moyenne de l’atmosphère induite par l’accroissement de la concentration de gaz à effet de serre d’origine anthropique dans l’atmosphère.

Les activités humaines – industrielles, agricoles ou domestiques (chauffage, déplacements) – contribuent à ce phénomène de changement climatique en raison des énergies fossiles utilisées.

Destruction de la couche d’ozone kg CHC-11 eq L’appauvrissement de la couche d’ozone résulte de réactions complexes entre l’ozone présent dans la haute atmosphère et de composés gazeux tels que les chlorofluorocarbures (CFC), les halons et les hydrochlorofluorocarbures (HCFC).

La filtration naturelle des rayonnements ultraviolets devient moins efficace, entraînant des effets potentiellement nocifs sur la santé humaine, la santé animale et les écosystèmes terrestres et aquatiques.

Emissions de particules fines Disease inci La présence dans l’air de particules fines de faible diamètre – en particulier de diamètre inférieur à 10 microns – représente un enjeu pour la santé humaine, leur inhalation pouvant être à l’origine de problèmes respiratoires et cardio-vasculaires.

Ces particules proviennent surtout de la combustion à des fins énergétiques de différentes ressources (bois, charbon, pétrole), du transport routier et de l’industrie.

Radiations ionisantes kBq U235 eq Cet indicateur représente les dommages causés à la santé humaine liés à la libération courante de matières radioactives dans l'environnement.
Oxydation photochimique kg NMVOC (Non Methane Volatile Organic Compound) eq Indique le potentiel de création d’ozone photochimique dans la troposphère (< 11 km alt.) induit par les émissions de substances (COV et NOx) générant ce phénomène. Sa survenue dans les grands centres urbains réfère généralement à l’appellation «pics de pollution» (on parle également de «smog»)
Acidification Mol H+ eq L’acidification de l’air est liée aux émissions d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre, d’ammoniac et d’acide chlorhydrique.  

Les rejets d’oxydes de soufre sont dus à l’utilisation de combustibles fossiles soufrés : charbon, lignite, coke de pétrole, fuel, gazole.

Les oxydes d’azote proviennent essentiellement de la combustion fossile et de procédés industriels. Les principaux émetteurs sont les grandes installations de combustion et les véhicules.

L’acide chlorhydrique est issu notamment de la combustion de combustibles fossiles chlorés (charbon, fioul lourd) et de l’incinération des ordures ménagères. L’ammoniac provient principalement du secteur agricole.

Ces polluants se transforment en acides en présence d’humidité, leurs retombées pouvant dégrader les écosystèmes mais aussi les bâtiments.

Eutrophisation terrestre Mol N eq La qualité de l’eau et des sols d’où les plantes pompent leur nutriment est trop riche en certains nutriments (azote et phosphore), conduisant à la prolifération de certaines espèces à l’insu d’autre.
Eutrophisation d’eau douce kg P eq L’eutrophisation d’un milieu aqueux se caractérise par l’introduction de nutriments, sous la forme de composés azotés et phosphatés, conduisant au développement voire à la prolifération d’algues et à l’asphyxie du milieu.

L’eutrophisation des eaux douces est principalement due aux composés phosphatés. L’apport de phosphates dans le milieu naturel provient à la fois de l’agriculture (utilisation d’engrais, déjections animales), des rejets industriels et des rejets domestiques (déjections humaines, détergents et lessives)

Eutrophisation marine kg N eq L’eutrophisation des eaux marines est consécutive à l’introduction de nutriments sous la forme de composés azotés, celle-ci conduisant à une prolifération d’algues et à une asphyxie du milieu. Différents composés azotés sont impliqués dans ce phénomène : les nitrates, les nitrites, l’azote ammoniacal, l’azote organique.

Les activités agricoles – de culture et d’élevage – ainsi que les activités industrielles et domestiques (ex : eaux usées) contribuent à ces apports de nutriments azotés dans l’environnement.

Consommation de ressources minérales non renouvelables kg Sb eq L’appauvrissement de l’environnement en ressources minérales non renouvelables telles que le fer, le zinc, etc.
Consommation d’énergies non renouvelables MJ L’appauvrissement de l’environnement en ressources fossiles non renouvelables telles que le gaz naturel, le charbon, le pétrole, etc.
Ecotoxicité aquatique CTUe Les activités humaines peuvent nécessiter la mise en œuvre de produits et de préparations susceptibles de rejoindre les écosystèmes aquatiques et de se révéler toxiques pour leur faune et leur flore.

Ainsi, certains produits consommés par les ménages peuvent engendrer des effets écotoxiques pour les milieux aquatiques : shampoings, produits d’hygiène, détergents ménagers par exemple.

Occupation d’espace Pt Traduit la perte de qualité des sols occupés par les activités humaines (agriculture, exploitation forestière, emprise des réseaux de transport…) en exprimant cette perte de qualité en termes de déficit de matière organique.
Privation en eau m3 depriv Considère les prélèvements d’eau directement puisés dans les réserves naturelles d’eau douce (ex. : rivière, lac, nappe phréatique) ou d’eau salée.

Attention cet indicateur ne traduit pas seulement le volume d’eau prélevé mais prend en compte également la zone géographique dans laquelle cet eau est prélevée.

Toxicité humaine CTUh Les activités humaines sont nombreuses à nécessiter la mise en œuvre de substances susceptibles d’être émises dans l’atmosphère et l’environnement. Il en va ainsi de nombreuses activités industrielles et énergétiques (aciéries, centrales nucléaires, centrales à charbon) et d’activités fondées sur la chimie. Toutes ces activités peuvent être potentiellement dangereuses pour la santé humaine en cas d’inhalation ou d’ingestion.

Plus d’informations sur cette méthode, disponibles sur le site de la commission européenne : https://eplca.jrc.ec.europa.eu/EnvironmentalFootprint.html


Le score unique :

Le score unique est un indicateur proposé par la méthode Environmental Footprint de la commission Européenne, qui a pour but de résumer l’ensemble des performances environnementale d’un produit par une note unique.

Il se construit en 3 étapes :

- Normalisation : Ramener l’impact de chaque indicateur en une unité commune. Pour cela on divise l’impact de notre produit par l’impact annuel moyen de la population mondiale par personne. On obtient ainsi un résultat en Point (Pt). Avoir un impact de 1 Pt sur le changement climatique est équivalent à représenter 1% de l’impact Changement Climatique annuel d’une personne moyenne. Tous les indicateurs sont alors dans une même unité, le Point (%). Les ordres de grandeur étant important, on résonne souvent en µPt (10-6 %) ou en mPt (10-3 %).

- Pondération : Les catégories d’impacts n’ont pas forcément la même importance sur l’environnement. Leur importance est donc pondérée pour augmenter ou réduire leur contribution dans la note unique finale.

- Addition : l’étape finale est l’addition des 15 scores normalisés et pondérés en une note unique, le Single Score.


Points d’attention sur le score unique :

-       Certains indicateurs sont encore trop incertains et induisent des problèmes dans le calcul du score unique (indicateurs Toxicité Humaine, Eco-toxicité et Particules Fines)

-       Les mix électriques intégrant une grande part de nucléaire sont fortement désavantagés sur le Score unique à cause de l’indicateur Ionizing Radiation.

-       Toute normalisation engendre de l’incertitude (taille de la population et impacts comptés).

-       Toute pondération engendre de l’incertitude (débats d’experts).


Aussi le CT IPC et EVEA recommande d’utiliser le score unique comme une lecture complémentaire des résultats. Le score unique n’a pas vocation à être utilisé seul pour de l’aide à la décision.


Communication des résultats

Toute communication externe des résultats obtenus à partir de l'outil C3R-IMPACT est strictement interdite. Il est rappelé que l’utilisation d’Analyse de Cycle de Vie à des fins de communication est encadrée par les normes applicables en matière d’ACV, incluant le cas échéant la réalisation d’une revue critique. En tout état de cause, IPC et EVEA ne sauraient reconnaître une quelconque responsabilité pour toute communication externe réalisée à partir des résultats issus de C3R-IMPACT.

Plus généralement, l’utilisation de ces résultats et toutes décisions prises sur la base des modélisations effectuées à l'aide de C3R-IMPACT sont de la seule et unique responsabilité de l’utilisateur.

Liens utiles

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